Lorsqu’on exerce dans le secteur commercial, il est plus qu’important de toujours se préoccuper de la rentabilité de vente du business. Il faut savoir rechercher le meilleur profit qu’importe la période, l’endroit et la disponibilité tant que l’occasion se présente. Pourtant, à quel moment faut-il prendre une pause sans risquer de perdre son marché ou de se faire noyer par la concurrence ?
L’article suivant vous guidera sur ce que tout bon commerçant devrait connaître pour pouvoir booster ses ventes durant les périodes difficiles, notamment les vacances.

Les raisons pour lesquelles les commerçants ne prennent pas de vacances

Imaginez un instant le nombre de ventes qui vous échapperait si votre société fermait ses portes, même pendant un court laps de temps : la perte risque d’être béante et la rattraper deviendrait presque impossible.
Votre priorité devrait se baser sur les besoins et la satisfaction du client. Donc, si vous vous absentez lorsqu’ils auront besoin de votre soutien, il serait normal pour eux de se retirer de votre clientèle et de se tourner vers vos concurrents. Il faut aussi se demander si la concurrence est présente au même moment que vous ou si elle prend ses vacances, car durant la période de congé, l’émergence du nombre des demandes des clients pourrait grandement influencer votre balance commerciale. Et qui dit balance commerciale balancée en votre faveur, dit énorme chiffre de vente.

Néanmoins, le fait de ne pas rater les opportunités ne veut pas forcément dire qu’il ne faut pas prendre de vacances. Au contraire, il serait favorable à votre société de pouvoir se détendre un peu, mais en contrepartie, il faudra toujours garder un œil sur les chiffres d’affaires et la clientèle à l’aide de la technologie actuelle.

Les solutions à prendre avant de prendre congé

Effectivement, avant de passer vos vacances sur une plage de sable fin ou sur votre canapé en train de siroter une bonne tasse de café, pensez d’abord à vos économies.

Comme il est cité dans la partie précédente, la technologie actuelle aide grandement les travailleurs en e-commerce à faire fortune sans qu’il n’y ait beaucoup de difficultés à résoudre.

Ordinateurs, smartphones ou tablettes, avec l’un de ces appareils numériques, il est possible pour une simple personne de devenir un véritable maître commerçant, sans même avoir besoin d’un diplôme spécifique, grâce à la création de site de vente en ligne. Concevez à l’avance vos soldes, préparez votre moyen de communication avec la clientèle, actualisez votre site, et créez un espace client pour qu’ils puissent se connecter. C’est un moyen extrêmement facile de faire marcher votre business.
Mais avant de passer au coup de pouce des appareils hautement technologiques, il faut appliquer une méthode de comptage particulière permettant d’éviter la baisse soudaine des chiffres d’affaires durant les périodes difficiles : la saisonnalité. C’est la période qui fait soit baisser, soit augmenter le taux de vente de votre business selon un intervalle de temps donné, qui est lié aux besoins de la clientèle. Par exemple, si vous êtes un marchand de glace, durant les saisons chaudes vous auriez fait une très bonne récolte, mais durant les saisons froides vous auriez peu de client, voire même aucun pour acheter vos produits.
C’est pourquoi, connaître la notion de saisonnalité est très importante avant d’investir dans les diverses technologies, car elles doivent-être complémentaires l’une pour l’autre.
De ce fait, si on reste dans le même exemplaire du vendeur de glace, celui-ci devrait vendre ses produits en ligne durant les saisons froides pour en même temps effectuer de la publicité et attirer les acheteurs pouvant s’y intéresser.

En outre, une simple petite remarque pour cette solution : le mode de paiement influe beaucoup sur la vente en ligne des produits. Un paiement en espèce pourra être plus directe, mais nécessiterait un déplacement pour récupérer l’argent ; un paiement en chèque serait bien rentable, mais attention aux fraudes ; la carte bancaire constitue un paiement sécuritaire, mais pose problème sur le frais de transaction, etc.